✰ you're gonna hear me roar.

Les roses fanaient rapidement. Leur rose ne gardaient pas leur éclat éternellement, pas comme elle l'aurait voulu en tout cas. Ces prunelles fixaient se vase remplit de rose rouge. Une couleur intense qui lui faisait aussitôt rappelé le sang, l'amour, la passion mais aussi le rouge à lèvre que les actrices et mannequins portaient lors de publicités. Une rose représentait la fragilité, la féminité tout en invoquant aussi un côté fort et puissant par ces épines et son corps droit. Elle poussait seule avec une telle agilité, une telle ténacité. Bess Hawthorne adorait regardé ce spectacle. Elle ne pouvait dérivé ces yeux de ces quelques roses, mit dans un vase avec de l'eau. Leur vie était écourté pour qu'elle puisse les regardé ainsi pendant des heures; elle en était consciente. « Il faudrait faire une serre, avec des fleurs. » La brunette s’assoit un peu mieux, détournant le regard vers sa mère qui s'affairait à préparé un repas en cuisine. Celle-ci s'arrêta un moment un sourire sur les lèvres, sachant très bien de quoi sa fille voulait parlé. « Avec des roses, surtout. », dit-elle, sachant qu'elle disait à voix haute les pensés de sa fille cadette. Cette dernière se mit aussitôt à sourire. En moins de deux, sa mère avait comprit ce qu'elle voulait dire. « Comme ça, tu pourrais me voir plus souvent. » Bess prit un morceau de carotte devant elle et se le mit directement dans la bouche, croquant sa saveur exquise. Elle sortit à l'extérieur afin d'allé voir ce que faisait son père ainsi que son frère qui était dans l'écurie avec les chevaux. Aussitôt que Emry la vu, il lui sauta dessus avec un incroyable sourire. Les réunions familiales étaient toujours plaisante, surtout quand toute la famille était là. Pendant que sa mère et sa soeur préparait le repas, son père, son frère et elle s'occupait de l'écurie. C'était une tradition depuis de nombreuse année. Et il faut avoué que Bess était nulle en cuisine, et par peur de mettre feu à la maison de ces parents, sa mère et elle avait décidé de lui épargné la cuisine. Ce qui par ailleurs, était une très bonne idée et avait donné à Bess, l'opportunité de connaître un peu plus les chevaux. Après avoir bien nettoyer - de son côté sa tâche avait été de donné à mangé surtout - les trois partirent vers la maison, où le repas des dames les attendaient.

Un de ces plus grands rêvent se réalisait, et Bess Hawthorne ne pouvait pas se résoudre à voir la réalité et la vérité dans tout cela. Habillé d'un tailleur, elle regarda sa meilleur amie sur le canapé du petit salon. Elle avait décroché un stage pour tout l'été et avait accepté après en avoir discuté avec ces parents. Teen Vogue était pour elle, le plus bel occasion de sa vie. Même si elle avait au départ postulé pour Vogue. C'était quand même sur le sujet de la mode, et la compagnie créait des chambres faites sur mesures pour les adolescente surtout. Bess se regarda une dernière voir dans le miroir et partie en faisait un bisous avec sa main à sa meilleure amie. Le chemin pour l'allé ne fût pas aussi long qu'elle le croyait. Aussitôt arrivé dans l'immeuble, elle appuya sur le bouton de l’ascenseur. Alors qu'elle s'enfonçait dans la cabine, un jeune homme habillé en complet - noir avec une chemise bleu un peu déboutonné, sans cravate - mit sa main pour empêcher les portes de fermés. Fronçant le regard, Bess le laissa ensuite entré. Son bouton de désactiva aussitôt, comme elle le craignait. Le garçon appuya sur le quinzième étage, alors que le siens était le sixième. « Pardonne-moi, tu vas à quel étage? », dit-il en se retournant avant d'appuyé. Aussitôt son regard bleu azur la fit bégayer. Il avait les cheveux blond châtain en batailles, cet air innocent et charmeur à la fois qui la fit automatiquement fondre. « Je, euh.. Six. Sixième étage. » Après un moment elle réussi à dire quelque chose. Le garçon appuya alors sur le sixième bouton pour elle et le quinzième pour lui. Un sourire sur le visage il lui fit face, tout en la regardant de la tête au pied. « Premier jour, hein? » Elle hocha la tête doucement, en regardant partout dans le petit espace. Il ne semblait pas nouveau. « Qu'est-ce-qui m'a trahit? Mes mains? Mon tailleur? » Le garçon se mit à rire presque aussitôt. Il ne semblait pas vouloir la lâcher. « Si tu me donne ton numéro de téléphone, je pourrai te l'envoyer par message texte. Sinon.. Je crois que tu n'auras pas la chance de le savoir. » Pour appuyer ces propres, l’ascenseur était déjà rendu au cinquième niveau. Le garçon lui tendait son portable d'une main, le regard suppliant. Rapidement elle le prit, l'ajouta à ces contacts avec le prénom "fille de l'ascenseur". Elle sortie ensuite de la cabine et lui fera un charmant sourire, avec un petit bye de la main. Quelque seconde après, elle reçu un message. "Parce que je travaille ici, et que je saurais si une telle beauté travaillerait dans cet immeuble, mademoiselle Ascenseur. Au fait, moi c'est Rees." Elle ne trouva le temps de lui répondre que sur l'heure du dîner. "T'as de la chance, j'adore mangé des Reese. Invite moi à un rendez-vous et je te dis mon prénom." L'autre message ne tarda pas. "19h, au petit restaurant au coin de la rue." Un sourire passa sur ces lèvres. Ce garçon essayait de la séduire, et son contrôle à elle-même la faisait rire. Ce stage serait très forcément fabuleux. (...) Après plusieurs rendez-vous - et l'échange officiel de leur nom - ils conclurent officiellement de se mettre en couple. Elle squattait souvent chez lui, sauf lorsque son cousin venait en ville. Là, ils allaient chez elle. Bess n'eu pas le temps de réalisé qu'elle était en amour avec ce garçon - folle dingue serait plus approprié dans ce contexte - que l'été s'acheva et son stage aussi. Heureusement, à l'automne, elle signa un contra de huit mois avec la compagnie qui voulait absolument la gardé. Elle prenait la place d'une employé qui était enceinte et prenait un congé de maternité en plus de l'accouchement. Sa relation avec Rees continua, jusqu'à ce que l'été suivant pointe son nez. « Reste à New York avec moi. Ne pars pas, on te trouvera du boulot. » Même si elle aurait adoré, sa famille lui manquait bien trop pour qu'elle accepte. « Ma famille est là-bas, je ne peux pas partir. » Presque aussitôt, ils savaient que leur relation allait se terminé. Tous deux se torturèrent pendant deux mois, se disputaient, essayait de prendre arrangement. Il lui brisa le coeur de multiple façon. Il essayait de la rendre jalouse, de la garder. Mais rien ne marchait. Il ne faisait que lui faire plus mal. Puis le temps avança, rapidement, trop rapidement. (..) La journée du retour à la maison fût arrivé, enfin. Si elle se laça rapidement du trajet en avion, celui qu'elle devait faire dans un petit bus miteux ne l'aida pas davantage. Pourtant, tout ça en valu la peine lorsque le l'autocar avança au creux de la ville, s'enfonçant bien tôt vers son patelin. L'herbe fraîche et cette odeur digne de la campagne de son chez-elle. Comme elle l'avait manqué. Bien sûr, faire cette session dans une ville luxueuse et pleine de boutiques avaient eu son lot d'avantage. Mais il n'y avait rien comme la maison. Aussitôt qu'elle pensa retrouvé sa famille, son foyer, sa soeur, tout dans son coeur et sa tête s'arrêta. Elle était chez-elle, à Galveston.