Faith (+) Sanka t'es mort ? Yeah man !

Faith, Kovalevski

There is a house built out of stone.
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auteur @tumblr ⚜ The Cinematic Orchestra ~ To Build a Home.

coca cola cowboy

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- Date et lieu de naissance: Le 21 Décembre 1992 à Dublin, Irlande. Nationalité et origines: Irlandaise & Britannique. Occupation: Etudiante en médecine. Statut civil: Célibataire. Traits de caractère: – Sûre d'elle – Intéressante – Passionnée – Cultivée – Charmante – Loyale – Attachante – Douce – Amusante - Persévérante. Rancunière - Têtue - Jalouse - Chiante - Lunatique - Franche - Maniaque - Énervante - Par moment maladroite - Gourmande..

whiskey in the jar

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01. Sa mère est morte à sa naissance 02. a été élevée par son père 03. en a développé un fort caractère 04. Trop indécise, elle change presque tout le temps d'avis 05. A un grand coeur sous ses airs d’inaccessible impulsive. 06. Il lui arrive d'être vulgaire dans ses propos quand elle est énervée 07. N'aime pas les blagues sur les blondes, elle trouve ça puéril 08. S'imagine une vie parfois 09. Elle est souvent lunatique 10. Se demande comment elle va mourir 11. Aime plaire 12. Est beaucoup trop impulsive et devrait apprendre à canaliser ses émotions 13. Aime les balades au bord de mer, particulièrement en soirée 14. A apprit à jouer du piano 15. Aime sortir en soirée, s'amuser 16. N'ira jamais plus loin qu'un flirt, car au fond son coeur appartient à quelqu'un d'autre 17. Il lui arrive de pleurer des nuits, en repensant à sa mère 18. Se fait passer pour quelqu'un de dure pour cacher sa faiblesse 19. Perd ses moyens sous la panique 20. Aime lire 21. Aimerait faire carrière dans le domaine de la médecine. 22. Ne croit pas en l'amour. 23. Elle a deux tatouages, un dans la nuque où il y a écrit : LXXVI et une clé de sol à l'intérieur du poigné. 24. Fais du surf ainsi que de la danse. 25. A toujours voulu pratiquer un sport de combat tels que les arts martiaux.

“and pick the best”

- Chocolat/vanille: Chocolat. Sucré/salé: Salé. Imperméable/parapluie: Parapluie Ville/campagne: Ville. Nuit/jour: Nuit. Papaye/mangue: Mangue. Pantalon/short: Pantalon. Blanc/noir: Blanc. Chien/chat: Chat.

prayin' for daylight

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« À la Fac de médecine, on a plus d’une centaine d’heures sur comment lutter contre la mort. Mais pas une seule sur comment vivre avec... »

Assise en tailleur sur le lit aux parures de couleur bleu je fixais un point. En fait, je réfléchissais plus que je faisais autre chose. Je réfléchissais à ce qu'aurait pu être ma famille si ma mère aurait survécu à l'accouchement. Tout en remettant une mèche de cheveux derrière mon oreille droite, je descendis de mon lit. Je pris un pull qui se trouvait sur ma chaise de bureau avant de descendre dans le salon où se trouvait mon père, la seule famille qui me reste. Il me regardait tout en souriant, mais je voyais qu'il était triste. Il avait beau tout faire pour le cacher, je le voyais. Il me fixa en faisant un grand sourire, il me prit dans ses bras tout en disant « Coucou ma chérie ! Alors, qu'est-ce que tu veux ? Pancakes ? Gaufres ? Bacon ? » je voyais dans ses yeux qu'au fond de lui il voulait crier, dire à quel point il est triste d'avoir perdue la femme qu'il aimait. Et je le comprends, car moi aussi j'ai envie de crier à quel point la vie est injuste. On pense toujours que les misères arrivent toujours aux autres mais jamais à nous même. Détrompez-vous, tout peut arriver à tout le monde. Je le regardais dans les yeux, je sentais mes yeux qui commençaient à s'humidifier. Il se mit à me regarder dans les yeux et commença à me caresser doucement la joue avant de me prendre dans ses bras. Ça y est, j'avais cédé. Je me mis à pleurer. « Je suis désolée papa ... » - « Désolée de quoi ? Tu n'as pas à être désolée » Je relevais la tête en le regardant dans les yeux avant d'essuyer doucement mes larmes. Je me sentais tellement coupable, si jamais je n'étais pas née elle serait toujours là, toujours en vie. Je ne l'ai certes pas connue, mais elle reste ma mère. « Si ... Je suis censée t'aider à surmonter ça, je ne suis pas censée craquer. » il se mit à me regarder en souriant et en me caressant la joue. « Ne t'en fais pas, ta simple présence m'aide à surmonter ça. » Ma mère était certes, décédée depuis longtemps, mon père et moi avions du mal à le supporter, c'était tellement dur. Mais je sais que je peux compter sur mes amis tel que Belle quand je ne vais pas bien, ils savent me remonter le moral.

« Mais la vérité c’est que ça fait mal, alors on ment.»

« Prim dépêches toi un peu ! » Ma belle-mère, toujours en train de me stresser en plus je déteste quand elle m’appelle comme ça. Non mais c'est vrai, je suis une fille et c'est comme ça, je dois prendre du temps pour me préparer, elle doit comprendre ça, après tout, elle aussi est une fille non ? Enfin bref, j'étais en train de finir de me préparer. Un crayon entre et les mains et placé devant le miroir j'étais en train de faire la touche finale de ma tenue, le maquillage approprié. Après avoir appliqué un peu de gloss sur mes lèvres, je me mis à la porte de ma chambre avant de crier « C'est bon j'arrive » je passais une dernière fois devant le miroir avant de fermer la porte de ma chambre et de descendre en bas. Ma belle-mère toujours en train de stresser pour un rien lorsqu'il y a une réunion de famille -surtout qu'elle ne faisait pas vraiment partie de la famille- ou même un dîner. En plus, c'est généralement nous qui invitons, ne me demandez pas pourquoi. En attendant que les autres membres de la famille arrivent - oui parce qu'elle m'avait forcé à me dépêcher pour un rien, fausse alerte comme elle dit.- je décidais de me rendre dans la cuisine, histoire de voir ce qu'on allait manger. Et surtout histoire d'en profiter et d'en manger avant les autres -oui je suis une grosse bouffe-. Une fois dans la cuisine, je regardais ce qui pouvait bien se manger, comme les chips ou les gâteaux apéros si vous voyez ce que je veux dire. Après avoir trouvé ce que je voulais, j'en profitais pleinement. « Non mais ça va pas ?! » Et merde, je n'avais pas pensé au fait qu'elle pouvait débarquer, enfin bref, je me retournais vers elle et me dépêchais d'avaler ce que j'avais dans la bouche. Je me mis à la regarder dans les yeux en faisant un petit sourire. « Non non non, ça ne marchera pas, finis ton petit sourire. Retourne dans le salon jeune fille. Et évites d'aller vers la cuisine s'il te plaît, ils vont bientôt arriver. » Roh lala, c’est bon, j'ai juste mangée quelques chips c'est pas la mort ... Enfin bref, autant ne pas contredire ma belle-mère. « Oui ... » Je retournais dans le salon quand la sonnette retentis. Enfin, ça y est, les premiers invités étaient enfin arrivés, un peu de distraction. Je partie ouvrir. Je n'ai jamais vraiment compris comment mon père a pu faire pour se trouver une nouvelle femme. Comment il a réussit à passer le cap et ne plus penser à la femme qu'il a aimé. Moi en tout cas j'ai du mal. Je fais semblant de l’apprécier quand il est là, mais en réalité je ne l'aime pas. Non pas parce qu'elle est méchante, enfin si, je suis désolée de dire ça mais elle est méchante. Et parce qu'elle essaye de remplacer ma mère mais c'est impossible.

« To live without passions, it's not to live. »

Nous étions dans un bel été, il faisait chaud, trop chaud même. Allongée sur mon lit, le ventilateur en direction de de l'endroit où je me trouvais, je m'ennuyais, et généralement, quand on est jeune et quand c'est l'été on est pas censé s'ennuyer ! Mais bon, j'avais déjà proposé plusieurs sorties à certains de mes amis, et ils étaient tous occupés, j'en suis même à me demander si ils ne sont pas en train de me fuit, enfin bref, non, je ne pense pas, je me fais des idées pour rien, enfin bref, passons. Je partis dans la salle de bain communicante à ma chambre et pris un mayot de bain beige et blanc qui se trouvait dans un tiroir d'une commande en bois, situé dans celle-ci. Je l'enfilais rapidement, vérifiant en passant quelques petites choses sur ma coiffure et mon visage et sortit de la salle de bain. une fois de nouveau dans ma chambre, je pris un tee-shirt simple blanc et un short de couleur bleu-foncé. J'enfilais également une père de chaussettes et mis ma paire de Vans blanche, située au pied de mon lit. Une fois prête, je pris ma planche de surf qui était appuyée sur un mur aux thons bleu clair de ma chambre. Ma planche sous le bras, je partis dehors et monta dans ma voiture qui était garée dans l'allée de la maison. Une fois à l'intérieur, je glissais ma planche de surf les sièges arrières en faisant en sorte qu'elle ne me tombe pas dessus même si je donne, ne serait-ce qu'un petit coup de frein. Vérifiant que j'avais tout, je partis en direction de la plage. Après une dizaine de minutes, j'arrivais enfin à la plage, une fois sortis de ma voiture et debout sur le sable, je posais mon sac qui contenait une serviette ainsi que quelques petites bricoles sans intêret. Je me mis en maillot de bain et m'élança dans la mer. Je sais que généralement, il est préférable de porter une combinaison, mais je n'avais pas envie et en plus, je n'avais pas pensé à la prendre alors bon. Mon père n'a jamais vraiment apprécié le fait que je fasse du surf, il m'a toujours dit que c'était dangeraux, une chutte mal placée ou même les requins comme il dit, mais au fond, même si c'est, certes, dangereux, c'est ma passion et rien ne m'empêchera de pratiquer le surf.

« I know that I am going to have it, but the pressure is there all the same. »

Assise sur une chaise toute simple, parmis je ne sais combien de lycéens vêtue de toque et de chapeaux rouges, Tous semblables avec un même but, obtenir notre dîplome. Je regardais les gens autour de moi, je ne les regardais pas forcément eux mais surtout leurs réactions, leurs tics, leurs manies ... D'un côté c'était rassurant, j'étais sûr et certaine d'avoir mon dîplome étant donné que j'avais d'excellents notes et aucunes difficultés au niveau scolaire. Enfin bref, tout en continuant de regarder les réactions des personnes autour de moi, j'en voyais de très intéressantes. Certains fixaientt le directeur qui était en train de faire son speech sans le lacher une fois des yeux, en plus de le regarder, ils l'écoutaient attentivement, attendant d'entendre leur nom et prénom à chaque mêment, d'autres n'en avait absolument rien à foutre, -veuillez excuser mon langage- c'est à dire qu"ils envoyaient des messages ou discutaient et rigolaient avec leurs voisins d'à côté, d'autres encore montraient qu'ils étaient stressés. Le directeur ayant finit son discours, me sortit de mes pensées, il était temps d'annoncer les noms des dîplomés, et donc de passer sur la fameuse estrade redoutée par pas mal de lycéen. Pour ma part, je n'avais pas préparé de speech ou discourt ... Je me contenterais de sourir à la foule et de dire un petit « Merci ». Au fond, même si j'étais sûr d'avoir mon dîplome, j'étais tout de même angoissée, angoissée à l'idée que je passe à côté. Vous devez vous demander comment on peut passer à côté d'un dîplome si on a de bonnes notes ? Ben tout simplement en ayant un un écart de conduite, en ayant répondu à un professeur, en ayant balancer une insulte pensant que personne n'allait entendre ... Et franchement, il se peut que j'ai eu des rapports sur des écarts de conduite. Oui, ce n'est pas parce que j'ai de bonnes notes que je suis le stéréotype parfait de la fille intello qui s'enferme avec ses bouquins et qui n'a pas de vie sociale, au contraire, je sors énormément, j'aime m'amuser, c'est très rare de me voir à la bibliothèque pour faire autre chose qu'emmerder la bibliothécaire. Enfin bref, malgrè le fait que j'ai de bonnes notes, j'ai énormément de défauts, comme être impulsive ou ... Des fois, il m'arrive même de jurer comme un bourrin, donc bon, je suis loin d'être parfaite, au contraire. Le directeur avait commencé à dire des noms, c'était classé par ordre alphabétique des noms de famille, disons que j'avais le temps. Puis après quelques temps, il était arrivé aux " J " puis aux " K ". Et là, c'est limite si mon coeur s'était arrêté de battre, de plus, le fait que je perde tous mes moyens sous la panique n'arrange pas les choses. « Mademoiselle Faith Kovalevski. » un énorme sourir venait de s'afficher sur mes lèvres tandis que le nombre incomptable d'élèves et parents d'élèves m'applaudissait. Je me levais tout en remettant une mèche de cheveux derrière mon oreille droite. J'avançais vers l'estrade, et une fois dessus, le directeur me serra la main droit et me remis mon diplôme dans ma main gauche tout en me soufflant un « Félicitations. » il affichait un grand sourire, je ne dis ni plus ni moins qu'un « Merci. » puis je descendis de l'estrade. Un moment qui n'avait vraiment pas duré longtemps mais tellement riche en émmotions. Une fois descendue, alors que j'étais en train de reprendre mes esprits, mon père se précipita vers moi et me pris dans ces bras « Félicitations ma chérie, je suis tellement fier de toi ! » Je le regardais dans les yeux, j'étais aux bords des larmes, des larmes de tristesse et de joie, j'étais tellement heureuse d'avoir mon dîplome, mais j'étais triste de ne pas avoir me mère pour partager ce moment merveilleux avec mon père et moi.

where the stars go blue

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- Pseudo/prénom: Frangipane/Laura Avatar: Emma Stone. Groupe: Répondre ici. Où as-tu connu le forum: Sur Bazzart . Commentaires: Magnifiquement Sublime .